Vous serez comme des dieux
On promet aux gens le "bonheur". Cette société est basée sur l'hédonisme, le plaisir immédiat, sensuel... Jouir sans entrave, sans tabou, la liberté totale, où tout est permis. Voilà qui est dans l'esprit de mai 68.
C'est la philosophie du Devenir contre celle de l'Être.
C'est l'évolutionnisme, la logique du progrès, qui nous éloigne de ce que nous sommes.
Il est impératif d'être avant d'avoir.
Jésus nous disait: on ne peut servir deux maîtres, ou Dieu, ou l'argent (Mammon). Car on s'attachera à l'un et on haïra l'autre.
Evidemment la gouvernance mondiale dont nous parle Attali et consorts sera dirigée par la haute finance apatride et mafieuse, ceux qui dirigent les grandes banques internationales, les enfants des pharisiens et des hérodiens, docteurs de la loi et scribes hypocrites, qui choisirent de sauver Barrabas, un meurtrier, au lieu de Jésus.
On nous promet toujours que demain ce sera "la paix dans le monde", et pour cela, l'OTAN et ceux qui dirigent les principaux pays membres organisent des guerres.
Ceux qui osent s'opposer à ce régime de mort sont traités de "conspirationnistes", de "fachos", d"'antisémites", etc...
La peur d'avoir ce genre d'étiquette fait reculer beaucoup de gens. La propagande anti-royaliste et anti-cléricale pousse les gens à admettre la république même s'ils voient que ce régime monstrueux engendre de plus en plus de chaos social, politique, économique, et de plus en plus de misère.
Pourtant beaucoup voient les conséquences mais ils n'osent remonter aux causes. La programmation mentale est en cause mais en réalité la question est religieuse. La laïcité est la religion républicaine qui promet à l'homme de se diviniser, d'achever le processus de création, comme le dirait Vincent Peillon.
C'est toujours la même promesse du serpent: Eritis sicut dei, vous serez comme des dieux. Seulement c'est un mensonge évidemment, séduisant, mais cela n'arrivera jamais.
Et pourtant, combien se laissent prendre au piège !
Veillons car nous ne connaissons ni le lieu, ni l'heure, où le Fils de l'Homme reviendra.
Cyril Leysin