« La monarchie, le meilleur des gouvernements. » Sa Sainteté le Pape Pie VI. La France, ce beau pays, souffre. L’Europe plie sous le poids des principes révolutionnaires. Il nous manque un Roi Très-Chrétien qui était le lieutenant de Dieu sur terre. La seule démocratie vertueuse est celle qui s'exerce à l'intérieur de corps sociaux.
Pourquoi, après cinq ou six essais, plus misérables les uns que les autres, la France tourne enfin ses regards vers le principe monarchique ? Parce qu’elle ne voit plus de salut que là.
« Recueil de Prières » est un ouvrage réunissant près de 400 prières choisies, du IXe au XVIIe siècle. Un petit livre, qui délasse l’esprit en charmant le cœur.
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La Monarchie libératrice Petit Manuel du Royaliste
Ce manuel est rédigé de façon claire et concise, accessible au plus grand nombre et répond aux questions les plus courantes posées sur le royalisme : la monarchie et le Roi de France pour un système de gouvernement efficace qui enterrera définitivement une république à bout de souffle, maçonnique, cosmopolite, financière asservissant les peuples.
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« Le principe royal ne repose pas sur la foi que l’on a ou que l’on n’a pas en lui.
Il importe peu qu’on y croie ou que l’on n’y croie plus, et que les incrédules soient innombrables.
Cela ne peut se peser. Dieu est Dieu, et le roi est le roi.»
Jean Raspail
Démocratie Royale ?
« La démocratie en France avant la révolution française s'exerçait à l'intérieur des corps sociaux corporatifs, une démocratie qui a duré 7 siècles. Cette démocratie n'arrangeant pas les nouvelles fortunes financières apatrides et maçonniques, elles la firent abolir définitivement dans leur schéma le 4 août 1789, en abolissant les corporations par la suppression des privilèges de celles-ci et des provinces, le peuple a plus perdu le 4 août que la Noblesse.
La seule démocratie vertueuse est celle qui s'exerce donc à l'intérieur de corps sociaux. C'est ce qu'on appelle LA DEMOCRATIE ROYALE.
Nous rappelons à nos lecteurs, que le Roi de France est le lieutenant de Dieu sur terre, que restaurer le règne social de Jésus-Christ, si on poursuit la logique honnêtement, et jusqu'au bout, se fera en restaurant la monarchie catholique, en suivant les Lois Fondamentales du Royaume, qui désignent à l'heure actuelle le Roi de France, Louis XX, puisque le Roine peut pas être choisi par des hommes, mais par Dieu.
Tout le reste n'étant qu'élucubrations, manipulations et intérêts privés. La France qui est aujourd'hui en quatrième position des pays athées dans le monde, suite à une subversion constante au cours des siècles, des massacres pendant la période révolutionnaire, puis une propagande d'une violence inouïe depuis lors, était avant l'établissement du laïcisme – religion maçonnique – la Fille aînée de l'Église.
Le Roi de France était désigné par le titre de Fils aîné de l'Église, qui peut être comparé à celui de Très
chrétien, également spécifique au roi de France. Certains rites religieux ne s’appliquaient qu’au roi de France et lui rappelaient son statut particulier de roi très chrétien. Ce titre fut également appliqué indifféremment au roi et au peuple de France, peuple très chrétien ou au territoire français et devint peu à peu un objet de gloire, une justification d'être, apportant aux Français la certitude d'être un élément important du plan de Dieu dans l'ordre du monde au cours des temps.
Sa Sainteté le Pape Pie VI : « La Monarchie le meilleur des gouvernements »
Lors de la visite du cimetière de La Gaubretière samedi dernier, une question a été soulevée sur l’origine – lieu et date de naissance – de Marie Lourdais. Recherche faite, cette bretonne engagée auprès des combattants vendéens est bien née à Domalain (35) le 15 mars 1762.
Acte de baptême de Marie Lourdais
Voici son acte de baptême qui corrobore celui de son décès à La Gaubretière (30 octobre 1856) : Jeanne Marie André, fille d’André Lourdais et de / Renée Roussel son épouse, née le quinze mars 1762 à la / Houssais, a été baptisée par moi soussigné le même jour, parrain / Jean Faliot, marraine Marie Ron…evay qui ne signent.
(Source : Archives départementales de l'Ille-et-Vilaine, cote 10 NUM 35097 17, commune de Domalain, 1761-1763, baptêmes et mariages)
Evoquons à présent le destin peu ordinaire de cette femme…
Dans la nuit du jeudi 30 octobre 1856 s’éteignait paisiblement une vieille femme aveugle de 95 ans, dont le nom a marqué l’histoire du Haut-Bocage au temps de la Grande Guerre. M. de Rangot, le maire de La Gaubretière, nota ce décès à huit heures du matin dans le registre municipal : « Décès de Lourdais, Jeanne Marie Andrée… »
Plaque de la rue Marie Lourdais à La Gaubretière
Marie Lourdais n’était pas originaire du pays. Elle venait de Domalain, une petite paroisse du pays de Vitré, et s’était retrouvée – Dieu sait comment – dans le bourg de La Gaubretière où elle tenait une épicerie.
L’humble marchande commença à faire parler d’elle au début des persécutions religieuses en portant secours aux bons prêtres.